Anthony Nowak : "Contre Harnes, ce sera la guerre !" Volleyball Beauvais Olympique Université Club Volleyball | Publié le 29 mars 2021 à 12:10 par Alex Partager sur Facebook Tweeter Partager par email Touché par le COVID il y a quelques jours, l’un des doyens du groupe beauvaisien s'est exprimé à l'issue de la victoire contre l'ASUL Lyon. Le central du BOUC Volley s'est montré très motivé par la perspective de la rencontre contre Harnes, reportée dans le courant du mois d'avril. Entretien sans filtre. Comment vous sentez-vous après votre « période COVID » ?La période COVID a été un peu longue (rires). J’ai eu 2-3 symptômes mais ça n’a duré que deux jours. J’ai eu des courbatures, une montée de fièvre mais rien d’exceptionnel.On suppose que vous êtes soulagés d'avoir gagné ce match contre Lyon !C’était une grosse bataille contre des jeunes qui nous avaient pris de haut là-bas. Ils ont recommencé samedi mais on a pas mal de joueurs d’expérience qui ont su calmer les choses. Ils se sont infiltrés dans la brèche après le premier set, il fallait rester dans le match. Il fallait qu’on montre qu’on était chez nous et les aplatir.Marquinho a d'ailleurs salué votre prestation à l'issue de ce match.Ca me fait plaisir. Je dois être l’un des joueurs les plus anciens du groupe avec Antoine (Masset), je me bats essentiellement pour l’écusson que j'ai sur le torse. Le coach, le président savent que s’ils me mettent sur un terrain de volley, je vais tout faire pour le BOUC.Comment jugez-vous la saison de l'équipe dans l'ensemble ?La saison est assez mitigée. Avec cette histoire de coronavirus, on a eu du mal à trouver des repères et à tous se mettre dans le même mouvement. Même si on a de quoi faire beaucoup mieux, on a clairement fait une saison en dents de scie malheureusement.Comment voyez-vous ce match contre Harnes ? (entretien réalisé avant le nouveau report du match)C’est la vengeance (rires). Là on va chez eux, ça va être la guerre. Pour ma fierté personnelle, c’est le match le plus important de la saison. Ils sont venus ici, ils nous ont clairement manqué de respect. On va aller chez eux et j’espère qu’on va les taper !