Dailly : "On essaie de ne pas tomber dans une routine"

 Football  Association Sportive Beauvais Oise   | Publié le par Bellovaque
Crédit photo : Tribune Beauvaisienn

L'AS Beauvais Oise s'apprête à reprendre la compétition le weekend du 30-31 janvier à Maubeuge. Avant cette échéance, nous avons longuement échangé avec l'entraîneur / manager du club, Sébastien Dailly. Un entretien en quatre parties à découvrir tout au long de la semaine sur le site. Aujourd'hui, nous évoquons la reprise, la gestion de cette longue période sans compétition ainsi que l'organisation du club face au COVID-19. 

Comment s’est déroulée la reprise ?
On a repris le 5 janvier, après avoir effectué des tests le 4 janvier, en respectant toutes les règles sanitaires qui nous sont imposées et dans l'attente d'une date de reprise tout simplement.

Depuis plusieurs mois, avec cette période sans compétition, qu’est-ce qui change dans les entraînements ?
Il faut savoir qu'heureusement ou malheureusement, depuis l'arrêt des compétitions, différentes dates sont sorties de la part de la Fédération. On était toujours censé reprendre le football dans 15 jours, ou un mois maximum. Avec le temps qui s'est écoulé, psychologiquement, que l'on puisse se retrouver c'est une donnée importante. Parce que si on restait chacun de notre côté à broyer du noir, ce ne serait pas facile. On peut se vider la tête, nos journées sont moins longues. Physiquement, on s'entretient correctement. Avec le staff, on essaie de quotidiennement créer de nouveaux exercices, afin de ne pas tomber dans une routine et d'amener quelque chose de ludique où la notion de plaisir est aussi importante.

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Comment le club gère la crise sanitaire, est-ce qu’il y a des tests réguliers effectués, un cahier des charges particuliers qui est respecté ?
On fait des tests COVID tous les 15 jours, trois semaines. Au-delà de ça, on fait le maximum avec la distanciation sociale. Il y a du gel à disposition des joueurs. On a un responsable COVID qui veille au bon déroulement de toutes les séances et nous devons faire sans vestiaire. 


L’ASBO a-t-elle déploré des cas depuis plusieurs mois ?

On a été épargné, heureusement.